Comme Anouck Regottaz, Alexis Clévy a découvert SCCM ALP durant son stage de 8 semaines de première année de BTS Conception de Produits Industriels au Lycée Monge de Chambéry. Pour enchaîner ensuite sur une alternance d’un an, au sein du Bureau d’études « Traitement sec des fumées d’incinération »…
Pourquoi as-tu choisi de faire ton alternance chez SCCM ALP ?
Au cours de mon stage de première année, j’ai découvert une bonne ambiance d’entreprise et un secteur d’activité très spécialisé dans lequel nous avions besoin d’être de véritables couteaux suisses, par notre position d’intégrateur et par la taille de l’équipe. Je me suis dit qu’intégrer SCCM ALP était une belle occasion de découvrir les différents métiers de l’entreprise mais aussi une opportunité de me découvrir moi-même. Et je n’ai pas été déçu !
Qu’as-tu réalisé pendant cette année ?
Si mon alternance consistait d’abord à intégrer le bureau d’études et pratiquer le dessin industriel, j’ai eu rapidement des missions qui m’ont permis d’aller sur le terrain, aussi bien à la rencontre de clients que de fournisseurs, en France surtout, mais également en Italie. J’ai eu la chance de voir sur le terrain, le résultat d’une charpente et un silo de stockage de bicarbonate de soude sur lequel j’avais travaillé. Ca prend tout de suite une autre dimension.
Que penses-tu de l’alternance au bout d’un an ?
Evidemment, l’alternance est intéressante car nous avons une petite rémunération tout en continuant à apprendre. Après, dans ma formation, nous n’étions que deux sur la promotion à avoir ce rythme car les autres restaient à 100% en cours. Il a fallu nous organiser pour continuer à suivre le groupe et rattraper des cours auxquels nous n’assistions pas. Mais, je pense sincèrement que cette expérience m’a beaucoup fait grandir. Je sais maintenant ce qu’est une vie sociale professionnelle et comment se déroule un projet, avec ses bonnes pratiques et ses contretemps.
Qu’as-tu appris sur toi en travaillant ?
Ouh là ! Pleins de choses ! D’abord, je sais me concentrer davantage, je crois. J’ai appris aussi qu’il était important d’avoir de bonnes et complètes informations pour gagner du temps dans la réalisation. En fait, je pense maintenant qu’il vaut mieux privilégier la qualité que la vitesse. Je sais aussi maintenant que j’aime bouger et ne pas rester devant un ordinateur.
Et puis, à mon sens, le plus important, sans doute, c’est que j’ai vu que j’étais capable de beaucoup plus que ce que j’imaginais. Je me mettais mes propres limites, en me contentant parfois du minimum, sans doute par peur. Je me suis surpris ! Et c’est à cette expérience que je le dois. Et bonne nouvelle, j’ai eu mon BTS !